1/

(C’est le moment de partir mener l’enquête. Qui est-ce que je devrais chercher en priorité ?)

1. (Aaron a l'air de m'apprécier et il m'a donné de quoi me défendre face à Vladimir. Même s'il a été réticent à parler du lien de calice, il devrait bien pouvoir me renseigner.)
2. (Malgré son côté théâtral et sa manie de flirter, Béliath est le seul à me parler sans fard de ce qu'est un calice. Je ne sais pas vraiment s'il voudra me parler, mais ça vaut la peine d'essayer.)

2/

Bonsoir mademoiselle. Je n'ai pas toujours beaucoup de compagnie ici malgré la cheminée, c'est un plaisir. Vous allez bien ?

1. Ça va je vous remercie, et vous-même ? Personne ne vous a accompagné ici ?
2. Pour tout vous dire, j'ai eu quelques… déboires… mais j'espère que ça va aller. Et vous êtes souvent seul ?

3/

C'est que nous ne souffrons pas vraiment du froid, alors certains ici ne voient pas l'intérêt ou le réconfort que l'on peut trouver à une bonne flambée. Je partage plutôt ce plaisir avec Raphaël et Vladimir, ils ont comme moi connu des époques où les cheminées étaient courantes.

1. Vu ses vêtements, je me doute en effet que Vladimir est assez « âgé ». Vous savez à quelle époque il est né ?
2. Est-ce que cela vous ennuierait de m'en dire plus sur Raphaël ?
3. Vraiment ? Vous vous habillez pourtant comme quelqu'un de moderne, comme Ivan ou Ethan…

4/

Je peux vous demander ce qui s'est passé ?

1. (Ça n'a pas forcément été très glorieux… je veux des renseignements sur mon statut de calice, ça me plaindre encore de Vladimir.)
2. Je suis parti à la bibliothèque pour en savoir plus sur les plantes qui ont été saccagées, et comprendre pourquoi elles étaient si importantes aux yeux de Vladimir.

5/

(J’ai horreur de la façon dont il en parle. Je ne suis pas à la disposition de Vladimir, et je ne suis pas sa chose ! Il faut que j'en sache davantage pour me protéger.)

1. Si je peux me permettre, est-ce que vous en savez un peu plus à ce sujet ?
2. Oui, je sais bien que vous êtes des vampires, mais… j'ai été prise au dépourvu, et maintenant, je n'ose pas en parler de nouveau avec Vladimir, vous voyez.

6/

Cependant je suis désolé, mais je ne compte pas vous en dire plus à ce sujet. Ce n'est pas mon rôle.

1. Mais comment voulez-vous que je m'adapte si personne ne veut me parler de ce maudit lien ?
2. Aaron, vos conseils sont pertinents et je vais vraiment chercher à faire de mon mieux, mais mes relations avec Vladimir sont déjà tellement difficiles !

7/

Tout va bien ?

1. Ça ira je vous remercie.
2. Disons que vous m'avez donné de quoi réfléchir.

8/

Tiens, bonsoir ma belle, tu n'es pas très « matinale » si je puis dire aujourd'hui ! Je peux faire quelque chose pour toi ?

1. Vous tombez assez bien, car oui, j'ai quelque chose à vous demander justement. J'espère que vous ne serez pas contrarié que cela concerne Vladimir ? Non pas que ça me dérange de faire connaissance avec vous plus tard…
2. À vrai dire, vous pouvez en fait faire quelque chose pour moi. Cela concerne Vladimir.

9/

Vu le peu de culpabilité que j'ai senti dans sa voix, je me suis doutée que tu n'avais pas dû te laisser faire et il en était encore contrarié.

1. Vous devinez bien ! Je vois que vous commencez à me connaître, contrairement à mon… geôlier. J'espère que vous pourrez donc répondre à mes questions.
2. C'est en parti ce qui m’amène, en effet. Vous comprenez donc pourquoi je préfère éviter Vladimir pour le moment… et pourquoi j'espère que vous répondrez à mes questions.

10/

(Si je suis sur…)

1. Je pense que oui. Je ne regrette pas que vous m'ayez poussé à aller… réfléchir à tout cela.
2. Oui… et je commence à me demander c'est tout ceci il ne m'a pas apporté encore plus de questions que de réponses…

11/

Alors te voici devant ton choix. Que souhaites-tu faire ? Que je te livre les réponses à tes questions… ou bien que tu tentes de les poser enfin à notre aristocrate ?

1. (Malgré tout ce que j'ai appris sur Vladimir, je sais parfaitement que tout cela ne mènera à rien. Il me méprise. Il ne voudra rien entendre. Et j'ai besoin de savoir… s'il y a un moyen de quitter cette prison !)
2. (Suis je dois en croire tout ce qu'on m'a dit, je commettrais une terrible erreur en n’interrogeant pas directement Vladimir.)

12/

Ne faites pas cette tête d'ahuri, j'ai simplement senti votre présence. Vous n'en avez pas encore conscience, mais plus le lien se renforcera entre nous et plus nous partagerons ce genre de chose.

1. Sérieusement ? Je ne savais pas ! C'est… je ne sais pas si je dois trouver ça bien ou non…
2. J'espère que ça ne vous posera pas trop de haut-le-cœur, non seigneur, d'être lié à une moins que rien tel que moi.

13/

Bien. Que pouviez-vous avoir de si capital à me demander pour que vous vous traîniez jusqu’ à ma chambre ?

1. J'ai repensé à ce qui s'était produit l'autre soir. Quand vous… quand vous m'avez mordu. Je n'avais pas compris que notre lien impliquer ce genre de choses, voyez-vous ?
2. Parce que selon vous je dois forcément avoir un but précis pour venir vous parler ? Je pourrais juste vouloir faire en sorte que nous nous entendions mieux et faire connaissance !

14/

Je peux vous accorder cela. Même si vous avez l'air de vous acclimater assez facilement à certains de mes camarades.

1. C’est d’Aaron nous vous parler ?
2. Écoutez, si c’est de Béliath dont vous parlez, je sais que vous n'êtes pas les plus grands amis de ce manoir, mais il a toujours été cordiale avec moi.

15/

(Mais que… si je m'attendais à revoir cette possessivité si vite… il ne me lâche pas des yeux à présent.)

1. Aaron m'a toujours dit du bien de vous, je trouve assez grossier de me reprocher, ou de lui reprocher, le temps que nous avons passé ensemble.
2. Aaron a été bienveillant avec moi depuis mon arrivée vous savez, ça m'a aidé à m’acclimater au manoir.

16/

Le fait que vous soyez mon calice ? Oui en effet, c'est le cas. Votre sang… comment le dire sans vous effrayer, ou que vous ne compreniez pas… vous n'êtes pas un vampire…

1. J'aimerais tout de même comprendre… s'il vous plaît… je pense qu'il est temps que je comprenne mieux ce qui nous unit.
2. Je suis désolée, mais c'est vrai que s'il vous était possible… d'éviter les détails trop… précis à ce sujet… je vous en serai reconnaissante.

17/

(Mon sang… c'est une telle image… je revois ses crocs… ce sentiment d'impuissance…)
(et… je ne peux pas m'empêcher de l'écouter.)

1. (Je n'ai même pas envie de l'interrompre. C'est la première fois que je le vois si calme, si… passionné. Et c'est de moi qu'il parle… ! C'est… je ne m'y attendais pas.)
2. Je… vraiment ? Mais… tout ce que vous dites… comment mon sang peut-il être si…

18/

Je sais que vous avez dû trouver cette première fois… brutal… mais cela n'a pas à être nécessairement le cas. Une morsure… ce n'est pas fait pour être violent, comme je vous le disais. Encore moins entre un calice et son vampire.

1. Parce que vous… vous voulez me mordre encore ? Je ne… et si je ne veux pas ?
2. Mais… vous êtes sûr que… écoutez, je ne veux pas encore avoir mal, et…

19/

Le sang maculant mon bras.

1. Allez-vous-en ! Je sais très bien ce que vous voulez me faire, je peux le lire dans votre regard ! Sortez d'ici !
2. Ivan… ne m’approchez pas. Vous savez que je suis le calice de Vladimir, vous ne pouvez pas m'attaquer. Vladimir le saura !

20/

Si vous croyez que je vais me laisser faire ! Lâchez-moi, espèce de fou furieux ! Immédiatement !

1. Lui donner une gifle.
2. Lui donner un coup de genoux au ventre.
3. Lui donner un coup de pied dans le tibia.

Et illu !